Bonsoir,
Le topique sur le sociopathe et psychopathe
Je le trouve très intéressant. Mais sans tomber dans la généralité, j’aimerai poser une hypothèse.
Grâce au lien joint à la thématique, j’ai pu redécouvrir et apprendre des points clés et importants qui définissent les mots et les sujets. Le sociopathe et le psychopathe sont des personnes qui présentent des caractéristiques favorables à une soumission perverse. Il n’est pas fort étonnant que ce genre de personnes fondent leurs principes sur le rejet de l’autre et sa participation à nous causer du tort.
Mais quand est-il de l’environnement dans lequel ils évoluent ? Freud analysait le patient sur plusieurs aspects de sa vie et de sa personne (inconscient, conscient, subconscient). Je veux parler de l’époque actuelle où les pathologies de ces sujets connaissent une modification. Disons que c'est la cause de leur mal-être ou les mobiles, qui les poussent à agir. Mon étude analytique se forme sur notre système d’aujourd’hui. Avant, on était pervers par sa marginalisation ou sa réclusion dans un groupe développant cette pathologie. De nos jours, ce cas a explosé et s’est étendu sur une grande majorité de la société. Les individus sont devenus anxieux et soumis à des pressions collectives.
Il n’est pas indéniable de constater une augmentation de la criminalité pour des raisons banales.
Les individus qui ne présentaient aucuns caractères suspects, se retrouvent subitement admis comme porteur potentiel de gènes criminels insoupçonnés. Le plus souvent, c’est la dépression, l’échec, le chômage, le manque de confort,…Ce qui fait que notre individu se sent marginalisé et se sent disparaître d’une communauté qui doit s’actualiser au quotidien et réponde rapidement à la satisfaction de leur égos.
Les lois du bonheur, la dictature du bien-être, dur labeur pour gagner plus de beurre…Notre société enregistre des taux de criminalité en constante augmentation. Les calmants et antidépresseurs entrent dans la classe des constituants alimentaires de base que les protides, glucides,…
Notre société est omnibulée par la réussite et en fait un bien rare, qui implicitement veut dire qu’il s’achète. Et là où se situe la perversité, c’est qui faut l’avoir avec soi tous les jours. L’acheter tous les jours comme avoir la santé tous les jours…Nous savons bien que notre état est souvent influencé par les événements de l’environnement comme le climat, le relief… Donc, cela veut signifier qu’on ne possède pas l’autorité suprême sur notre personne.
Je m’arrête ici pour le moment et j’aimerai avoir vos avis sur cette soumission perverse à grande échelle.